Nous poursuivons dans ce numéro la présentation de vos élus. Rencontre avec les adjoints du Pôle urbanisme, travaux et environnement : Claudine Bruban et Denis Pénarguéar.

Divers

Publié le mercredi 22 septembre 2021

 

Claudine Bruban, adjointe à l’urbanisme à l’environnement et aux mobilités

 

Claudine, qui est originaire de la Meuse, a exercé dans la fonction publique hospitalière, tout d’abord en qualité d’infirmière dans l’Yonne, puis comme infirmière anesthésiste à l’hôpital Ambroise Paré à Paris. Mère de deux enfants, elle est aussi grand-mère de six petits-enfants.

C’est le 18 juin 1987 que Gouesnou m’a appelée se plaît à rire l’adjointe à l’urbanisme, mais c’est en 1972 qu’elle pose ses valises à Brest pour suivre son mari.

À cette époque, je ne connaissais Brest qu’à travers le poème de Jacques Prévert « Rappelle-toi Barbara » qui évoquait la rue de Siam. Brest a toujours eu pour moi un petit caractère exotique. 

C’est donc dans la cité du Ponant qu’elle poursuit son ascension professionnelle où elle enchaîne l’école des cadres et les concours jusqu’à devenir directrice de l’école des infirmiers anesthésistes.

Quelle que soit la période de sa vie, Claudine s’est toujours investie au service des autres.

C’est dans ma nature et je n’ai pas fait ce métier par hasard, insiste Claudine. Je me suis engagée dans les associations de parents d’élèves, dans les clubs sportifs, puis j’ai créé, avec mes collègues, une association de professionnels des écoles d’infirmiers anesthésistes et aujourd’hui je continue en travaillant pour les Gouesnousiens.

Adjointe à l’urbanisme pour un troisième mandat, cette passionnée de ski sait particulièrement bien slalomer entre les acronymes et le jargon de l’urbanisme, et ne manque pas d’enthousiasme pour les six années à venir. Nouveaux challenges, nouvelle équipe et nouvelles co-constructions ! , résume, très pragmatique, l’élue.

Celle qui maîtrise les règles d’urbanisme sur le bout des doigts n’est pas du genre à regarder les aiguilles de la pendule tourner : il ne faut pas s’endormir sur ce que l’on a fait avant. On a une feuille de route à tenir, on a été élu pour ça et c’est ce que les Gouesnousiens attendent de nous. Le travail d’équipe est une notion importante pour moi et l’interaction entre les uns et les autres est essentielle à la construction des projets. Nous devons donc poursuivre notre travail collectif, mener les projets et les réussir au service des Gouesnousiens.

 

 

Denis Pénarguéar, adjoint aux travaux, au patrimoine et aux quartiers

 

À 71 ans, Denis Pénarguéar entame son second mandat en tant qu’adjoint. Marié, père de deux enfants et grand-père de deux petits-enfants, le retraité du secteur bancaire, s’est installé à Kerdidrun voici déjà 40 ans.

Les Gouesnousiens le connaissent très bien puisqu’ils le voient courir tôt le matin tout en notant mentalement une ampoule à changer par ici, un trou à boucher sur le trottoir par là… Dès son arrivée en mairie, il retrouve Éliane au secrétariat des travaux qui organise la prise en charge des réparations avec les différents services de la collectivité et de la Métropole.

La course et la randonnée sur les chemins côtiers font partie de ses plaisirs quotidiens. Il est d’ailleurs adhérent à un club de randonnée et aux Blés d’or pour la course. Les voyages et le jardinage lui permettent tout autant de s’évader. Mais ce qui le fait vraiment vibrer, c’est le Stade Rennais ! J’ai les yeux rouge et noir depuis soixante ans, aime-t-il dire avec une petite étincelle dans le regard. J’aime les grands évènements sportifs, ajoute l’infatigable élu. Les grands matchs de foot, le Tour de France, les jeux olympiques, la coupe du monde de foot…

Denis Pénarguéar lance un regard plein d’envie et d’entrain sur le mandat qui se dessine. Six ans, ça passe beaucoup plus vite qu’on ne croit ! insiste-t-il. Nous devrons mener à bien de grands projets comme l’école du Château-d’Eau, un projet à 11 millions d’euros, l’îlot mairie, sur une surface de trois hectares, la maison des solidarités Simone-Veil, achever le lotissement communal Françoise Dolto, faire avancer le projet du parc du Crann, mais aussi mener à bien l’accès de l’espace Kerloïs depuis la RD 788.

Il ne manque pas de souligner qu’il souhaite conserver un climat apaisé, comme pour le mandat précédent. Nous avons, toujours et avec tous, travaillé dans le respect. C’est capital de garder une bonne union et un esprit d’équipe.

Partager cette page sur :