Entre ville et campagne, le quartier résidentiel de Penhoat entame une nouvelle étape de son programme, avec la construction des premières maisons de la phase 2. Situé dans un cadre verdoyant, à 1 km du centre-ville, Penhoat conjugue le calme de la campagne et la dynamique d’une ville active.

Urbanisme

Publié le lundi 28 décembre 2020

 

L’attractivité du quartier se poursuit avec une commercialisation très rapide puisqu’en moins d’un an il ne reste plus que 20 lots sur les 59 terrains à bâtir initialement disponibles.

« Les habitants ont besoin de retrouver la nature, le calme, un environnement paysager, tout ce que propose Penhoat, souligne Carole Quiniou, responsable du projet à BMa, l’aménageur du quartier. Tous les jours depuis le mois de mai, nous avons des demandes de particuliers et de constructeurs pour disposer de la mise à jour du plan des lots disponibles. Un succès qui s’explique peut-être par une offre plus variée que sur la phase 1, avec des terrains qui vont de 300 m² à 700 m². Une satisfaction : on constate que les habitants se sont vraiment emparés de leur jardin et des espaces communs. »

Aire de jeux du quartier de Penhoat

La typologie d’habitats de cette seconde phase propose une offre diversifiée, accessible à tous les budgets, que ce soit pour l’habitat individuel, le logement intermédiaire ou collectif. Le coeur du projet est de s’inscrire dans le paysage existant. « On pratique souvent un travail « en creux », par une lecture du paysage, de ses qualités et de ses figures, précise Jean-Christoph Rousseau, de l’agence Forma6, architecte urbaniste du quartier. À Penhoat, nous avons travaillé avec un système de haies bocagères, liées à l’ancienne activité agricole. Ce sont ces qualités et la topographie du site qui ont dessiné ce quartier, en favorisant systématiquement la biodiversité et le bien-être des habitants. Ce programme a été établi dans l’objectif d’insérer un quartier dans un cadre paysager préexistant et valorisé », poursuit l’architecte.
« Ce quartier a été imaginé sous la forme de hameaux », précise Claudine Bruban, adjointe à l’urbanisme. « Ils permettent de favoriser la vie de village et la vie sociale, les rencontres et les pratiques communes. La circulation à l’intérieur du quartier a d’ailleurs été pensée à cet effet. Les voies partagées sont privilégiées afin de simplifier et sécuriser les mobilités. » « Nous avons misé sur l’usage des espaces publics et l’aire de jeux du parc pour développer cet esprit village », conclut Carole Quiniou.

 

Chiffres-clés
Phase 1 : 93 familles
Phase 2 : 83 familles

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